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Ces molécules, les «
perturbateurs endocriniens », sont soupçonnés d’interférer avec le système
hormonal humain, et pourraient non seulement avoir un impact sur la fertilité
mais aussi contribuer à l’augmentation du nombre de cancers dits «
hormono-dépendants », ceux du sein et de la prostate par exemple.
L’utilisation de ces
molécules est bien sûr très réglementée : elles ne peuvent être employées qu’à
des doses très précises. Plus concrètement : certains produits se rinçant, les
molécules ne restent alors que momentanément en contact avec la peau ; or e
problème débute quand d’autres y restent toute la journée (lait corporel,
déodorant,...) De ce fait, et à plus forte raison si l’on utilise simultanément
plusieurs des produits en contenant, on dépasse très rapidement la dose
journalière maximale recommandée...
Alors que faire ? D’abord et avant tout,
lire les étiquettes pour traquer les molécules en question. Leurs noms ? Methyl
paraben, éthyl paraben, butyl paraben, éthylhexylmethoxycinnamate,
benzo-phenone 1, benzo-phenone 3, benzo-phenone 4, ciclopenta-siloxane,
ciclotetra-siloxane triclosan. Autre possibilité : privilégier les produits bio
qui, eux, n’en contiennent pas.
Alexia