Le produit de beauté de base pour chacun d’entre nous est notre sacro-sainte crème hydratante. La potion de base pour que notre peau soit souple, confortable et agréable à voir. Elle est d’autant plus importante que notre peau réclame de plus en plus d’eau car elle a tendance avec le temps à se déshydrater. Mais comment nos cosmétiques arrivent ils à distiller de l’eau dans nos cellules épidermique ? En fait nos crèmes véhiculent de l’eau dans notre peau, particulièrement les crèmes aux textures gels mais surtout elles ont des composants qui permettent de retenir l’eau à la surface de notre peau.
Parmi ces molécules on distingue 2 grandes familles, celles qui sont naturellement à la surface de nos peau et celles qui sont de diverses origines. Les molécules naturellement présentes à la surface de notre peau peuvent être des sucres, des acides aminés (composant de base des protéines), des sels minéraux, ou encore de l’Urée (eh oui….) ou de l’acide lactique (acide naturel du lait). Ces ingrédients se retrouvent souvent dans les formulations de nos produits de beauté pour leurs pouvoirs hydratants et aussi pour leur coté astringent (resserrent les tissus), fluidifiant ou encore acidifiant.
La belle Cléopâtre ne s’y trompait pas !!!!
Les autre molécules sont issues de la chimie et s’appellent propylène glycol, butylène, chlorhydrol ou encore glycérine. Beurk beurk beurk !!!Ça ne donne pas très envie tout cela. Ces ingrédients restent néanmoins les plus utilisés aujourd’hui. Heureusement, la cosmétique bio est passée par là et nous propose de nombreux ingrédients beaucoup plus glamour et tout aussi efficaces. Commençons par la glycérine végétale, le gel d’Aloé Vera contenant de nombreux facteurs nutritifs ; le miel riche en sucre, acides aminés. Ces molécules sont d’autant plus intéressantes qu’elle amène avec elles des vitamines, des sels minéraux qui contribuent à l’éclat de nos peaux. La qualité de l’eau utilisée a aussi son importance, que penser de l’eau déminéralisée utilisée dans la plupart des formulations ? Mais nous avons déjà parlé de tout cela dans l’article sur les hydrolats…
Alexia